Cette copie sur Horace et Boileau date vraisemblablement de 1882, Maurras aurait donc 14 ans. La copie a été retrouvée dans les papiers de Mgr Jean-Baptiste Penon. Mais ce n’est pas lui, alors simple abbé, qui l’avait corrigée à l’époque. Ce devait être le professeur de rhétorique, un certain abbé Amédée Barailler. Mais il était absent, pour une raison que nous ignorons, et la copie a été vue par un autre professeur, un M. Colombel dont a priori on ne sait rien. La copie porte une mention de la main de l’abbé Penon : « accuratissime annotatum par G. Colombel ».
Soit : « Très finement annoté par G. Colombel. »
Celui-ci avait écrit en marge : « Quelle chance que Barailler ne l’ait pas lu ! »
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