Nous avons déjà eu l’occasion de dire, reprenant une formule de Maurras qui ne pouvait à son tour penser qu’à Lucrèce, que la politique maurrassienne se fondait ultimement sur « la nature des choses ». Principe presque paradoxal s’agissant de théorie politique, de ce que certains auraient peut-être taxé un peu vite d’idéologie.
Mais au juste qu’est-ce que cette nature des choses ? comment un principe aussi insaisissable et divers dans ses manifestations historiques et empiriques doit-il être compris ? Continuer la lecture de « Que la République est une aristocratie manquée »